Douces tortures féminines.
Depuis l'Antiquité, les femmes utilisent différents dispositifs pour soutenir leur poitrine : de l’apodème aux sangles, en passant par les mamillaires, brassières, et autres bandeaux et corsets.
L'origine du soutien-gorge dans son acception « moderne » reste discutée. Parfois appelé « gorgerette » ou « maintien-gorge », le terme « soutien-gorge » apparaît en 1904
Certaines femmes refusent l'usage du soutien-gorge, le jugeant inconfortable et inutile à empêcher la chute des seins. Certains courants féministes le refusent également, jugeant le soutien-gorge instrument d'oppression et de souffrance infligée au corps des femmes.
D’où la question polémique que je pose, la torture est elle obligatoire ? Pauvre de nous, oui !
Merci à Eve et autres Pandores pour avoir manger une pomme ou ouvert une boite nous obligeant ainsi à souffrir tous les jours dans notre corps de femmes oppressé entre les chaussures et autre douces tortures de cette lutte pour la beauté le charme et la grâce féminine.
Mais est-ce vraiment souffrir que de vouloir ce montré sous son meilleur jour ? Pour plaire, pour charmes pour se sentir femmes.
Mesdemoiselles, l’idée est faites, nous serons belles sous conditions.
Amen, et Bon courage à toutes.